Toute la lumière que nous ne pouvons voir
a été écrit en 2014 par Anthony Doerr, écrivain américain, et lui valut le prix
Pulitzer 2015. L'histoire se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale et
présente le destin de deux héros, Marie-Laure, jeune fille aveugle, et Werner,
jeune homme orphelin. La première est française et incarne le camp de la
résistance alors que le second est allemand et employé par la Werhmarcht.
Dans
une vision d’ensemble j’ai trouvé l'écriture soignée, travaillée, et les
personnages ont une réelle profondeur. C'est une fresque bien menée grâce à une
ambiance parfaitement retranscrite. Mais, et il y a un mais…
Ce
qui m’a amenée à lire ce livre c’est le titre, évocateur de liberté, de beauté
et d'espoir. J’espérais que ces deux personnages vivent des aventures, certes
pas faciles, mais salvatrices. Je m'attendais à ressentir des émotions grandes
et belles malgré le contexte, je rêvais de lire un livre où la guerre ce n'est
pas qu’horrible (bien que ce soit malheureusement le cas) mais parfois dans le
malheur nous pouvons trouver une lueur d'espoir, la lumière que nous ne pouvons
voir.
Je
n'ai pas trouvé ce que j'aurai aimé ressentir et pendant toute ma lecture
j'étais dans l’attente que quelque chose arrive. Je me suis pour la plupart du
temps ennuyée. Je ne dis pas que ce livre est mauvais, loin de là, seulement
j'ai été déçu j'attendais des fulgurances et je ne les ai pas lues.
Publié
par Coraline
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